CRUCIAL : Appel de l’observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent : impact des pratiques médicales sur les enfants diagnostiqués «dysphoriques de genre»...


L’Appel de l’Observatoire des discours idéologiques sur l’enfant et l’adolescent : impacts des pratiques médicales sur les enfants diagnostiqués « dysphoriques de genre »

I – Le Contexte

L’évolution du diagnostic de « dysphorie de genre » chez des enfants et des adolescents ces dernières années a de quoi interpeller : depuis dix ans, les demandes de réassignation de sexe se sont, dans cette catégorie d’âge, accrues de manière exponentielle selon les pays (1).

Que doivent comprendre les professionnels de l’enfance et de la jeunesse, pédagogues, médecins ou psychologues, de l’explosion récente de cette demande voire revendication ?

La parole libérée au sujet de la dite « transidentité » a-t-elle seule permis au phénomène de prendre une telle ampleur ? Ou bien l’activisme parfois très offensif et très clivant de certaines associations militantes LGBTQI - potentialisé par les réseaux sociaux - n’induit-il pas des pressions politiques sur les jeunes et leurs familles ?

On assiste à l’émergence de discours idéologiques sur la « transition de genre » des mineurs, idéologiques en ce qu’ils préemptent tout débat : le moindre doute sur les pratiques est aussitôt qualifié de « transphobe » alors que l’intérêt supérieur de l’enfant est en jeu en particulier à propos des conséquences médicales irréversibles sur le corps de l’enfant (cf. infra).

L’Appel de l’Observatoire porte essentiellement sur la protection de l’enfant et la préservation de son intégrité physique et psychique. C’est sur ce point-là précisément qu’il est urgent d’alerter les politiques (ministère de la santé, ministère de l’éducation nationale, secrétariat d’état à la protection de l’enfance) et le Conseil national de l’Ordre des médecins.

En effet, la « dysphorie de genre » des enfants et des adolescents témoigne à la fois d’une question intime posée par un enfant ou un adolescent mais aussi de la manière dont les enfants et les adolescents se font caisse de résonance, voire instrument du corps social qui valide immédiatement leur demande.

De jeunes personnes expliquent se sentir appartenir à l’autre sexe et y voir assurément la réponse à leur mal-être.

Les pratiques médicales cèderaient-elles donc à l’injonction de nouvelles normes sociales sans débat possible, sans réflexion concertée entre les différents professionnels de l’enfance, sans observation élémentaire du principe de précaution ?

N’est-il pas permis, sans nous voir frapper de l’anathème de « transphobie », d’interroger au préalable ce mal-être des jeunes en mal d’identité et en proie à toutes sortes d’angoisses ?

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